DISCLAIMER: cet article a plus d'un an et peut ne pas être à jour avec les événements récents ou les informations nouvellement disponibles.
La COP 24 clôturée, on peut regretter le peu d’implication des dirigeants occidentaux à mettre en action la limitation du réchauffement climatique. Chez VMware, la Responsabilité Sociale et Environnementale est une préoccupation constante depuis plusieurs années. Notamment depuis 2015, année de rédaction d’un premier rapport détaillant l’impact mondial des opérations de la société et la mise en place d’une stratégie à 5 ans.
Une stratégie RSE qui, d’ici 2020, doit permettre à VMware d’agir simultanément sur trois piliers :
* La planète (visant une réduction de l’empreinte carbone)
* Les individus (visant à développer un cadre de travail harmonieux, inspirant et enrichissant)
* Les produits (visant à proposer des technologies durables et positives)
100% d’énergie renouvelable et zéro déchet électronique
VMware ambitionne de consommer 100% d’énergie renouvelable pour ses opérations mondiales (contre 77 % aujourd’hui) et d’atteindre une parfaite neutralité carbone. Le groupe veut également fortement contribuer à la préservation de l’eau et réacheminer plus de 90% de ses déchets à l’échelle mondiale vers des centres de tri pour atteindre le « zéro déchet électronique ». Enfin, d’ici 2020, 50% des opérations d’approvisionnement devront être conclues auprès de fournisseurs durables et socialement responsables.
23% de réduction de l’empreinte carbone
De par son activité, VMware œuvre depuis sa création à la réduction de l’empreinte carbone des entreprises. Puisque la virtualisation consiste à créer une représentation « virtuelle » du matériel physique, elle peut s’appliquer au calcul, au stockage de données et aux réseaux. Ainsi la virtualisation peut transformer un ordinateur en plusieurs. Ce faisant, elle permet de réduire le nombre de serveurs physiques, de baies de stockage et de périphériques réseau nécessaires à la bonne marche de l’entreprise, ce qui réduit la consommation d’énergie et l’espace au sol des centres de données.
Si l’efficacité globale de l’entreprise est améliorée, les émissions de carbone résultant de la croissance de l’infrastructure informatique sont également réduites. En 2017, VMware a ainsi diminué ses émissions de CO2 de 23% (dépassant son objectif de 10% pour la deuxième année consécutive).
L’exemple du Costa Rica
Le Costa Rica est un parfait exemple des valeurs promulguées par le groupe. En 2017, VMware a fait une demande pour la très convoitée « Bandera Azul », une certification environnementale décernée chaque année à des organisations pour la mise en œuvre d’un large éventail d’initiatives de développement durable. L’équipe VMware du Costa Rica s’est concentrée sur le changement climatique, apportant des améliorations dans neuf catégories (des combustibles fossiles à la gestion des déchets). Les efforts ont porté leurs fruits puisque VMware a remporté pour la première fois le prix Bandera Azul début 2018.
Valoriser les talents et la diversité
Le second pilier de la stratégie RSE de VMware est social. Il a conduit l’entreprise à mettre en place des groupes de travail afin de féminiser et de rajeunir les équipes. A travers ces groupes appelés « POD » (Power of Difference), les collaborateurs réfléchissent ensemble pour valoriser toutes les formes de diversité et faire en sorte que les particularités de chacun soient respectées.
Dans un souci de féminisation des équipes, VMware a consacré depuis 2016, 1,5 million de dollars au programme « Seeds of Change » de l’Université de Stanford. Ce programme vise à former des lycéennes et des étudiantes aux STIM (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques).
En définitive, c’est un groupe toujours plus engagé dans une démarche durable et positive que se propose d’être VMware car nous pensons que l’innovation durable est le véritable challenge du 21ème siècle.
Categorie: Actualités et temps forts
Mots-clés : durabilité, réchauffement climatique, RSE, vmware
Pas encore de commentaire